Parfois, nous pouvons dans le cadre de nos projets, nous poser cette question.
Nous savons que nous devons impliquer plus de monde (de compétences, de réseaux, d’énergies) autour de ce que l’on souhaite réaliser et pourtant il y a cette forme de résistance intérieure à ne pas avoir envie d’être « perturbé par les autres ».
Un précepte existe pour désigner ce dilemme :
« Seul, on va plus vite, ensemble on va plus loin »