Que se trame-t-il derrière nos besoins ?

Nous sommes tous assujettis à nos besoins.

Et s’il n’y a pas de vie sans besoins et de vie épanouie sans une bonne « nutrition » de ceux-ci, ce n’est pas pour autant que cela suffit à une âme humaine. Nous sommes au fond de nous-même fondamentalement irrationnels : nous portons aux confins de nous un Désir qui nous tiraille et qui cherche à transcender toutes les limites qui gravitent dans notre champ d’existence. Lire la suite « Que se trame-t-il derrière nos besoins ? »

Quelle pourrait être l’origine de nos pensées ?

La pensée est un processus d’abstraction cognitive. Quand nous pensons, nous avons une petite voix ou un petit cinéma à l’intérieur de nous.

Les petites « capsules » de mémoires reçu de nos sens permettrait la pensée. Il nous faudrait au préalable voir pour pouvoir imaginer des images, il nous faudrait au préalable entendre, puis parler, pour pouvoir « discuter intérieurement ».

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Pourquoi avons-nous une tendance naturelle à nous illusionner ?

Nous portons en nous une capacité d’émerveillement. Celle-ci apparait au cœur de la vie consciente de l’enfant.

Cette faculté à s’étonner, à s’enthousiasmer et à s’identifier à des choses qui nous fascinent et nous dépassent nous porte vers des projets et des destinées dont l’humain est le seul à en avoir la recette. Lire la suite « Pourquoi avons-nous une tendance naturelle à nous illusionner ? »

Pourquoi devons nous nous sentir coupable ?

La culpabilité est un sentiment qui aide l’humain à vivre en société. Elle est « l’élastique » psychique qui tient les personnes à proximités des lignes de conduites sociales.

Ce sentiment peut, quand le retour d’élastique est trop fort, se retourner contre nous-même et nous ronger de l’intérieur et empêcher toutes émotions et actions positives… Lire la suite « Pourquoi devons nous nous sentir coupable ? »

Qu’est-ce que l’âme ?

Ce mot à historiquement une connotation mystique. L’âme est ce qui perdurerait de nous après la mort et qui emmènerait avec elle notre conscience.

Rationnellement et donc réellement, un corps mort est mort, sa cérébralité avec, et donc sa conscience aussi.

Pourtant, il est encore difficile pour moi d’exprimer mon « existentialité » sans avoir recours à ce terme.

En cela, ai-je du mal à abandonner ce terme parce que suis-je conservateur d’un attachement affectif envers des restes de mon éducation catholique, ou ce mot a-t-il encore une utilité explicative (qui m’aide à comprendre) ou performative (qui m’aide à être) ?

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