Si l’humain naît naturellement affectueux, nous ne naissons pas pour autant « gentil », c’est la société qui nous le fait devenir.
La gentillesse nous est inculquée et répond à l’impératif parental : « fais plaisir ». Au delà de la courtoisie, elle est la forme d’expression humaine relative à la soumission. Ainsi une gentillesse trop prononcée aura pour conséquence d’agir pour les autres et non pour soi. Et ce n’est pas pour autant, bien évidement, qu’agir pour les autres est mal en soi.
Si la gentillesse peut s’avérer limitante sur le plan personnel, la méchanceté est très souvent encore plus nuisible à l’accomplissement. Et en fait, les deux sont liés car la méchanceté se propage sur le terreau de la docilité sociale…
Vous trouverez ci-dessous une vidéo intéressante sur le sujet autour d’un livre qui s’appuie sur les principes de la CNV (Communication Non Violente) et qui est une manière de garder sa flamme intérieure sans mettre le feu autour de soi :